Bleach Survival
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La guerre totale...Les mondes spirituels rattrapés par le réel...Qui l'emportera?
 
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 Background du Segunda Espada, Dante Di Allessandro

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Dante
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MessageSujet: Background du Segunda Espada, Dante Di Allessandro   Background du Segunda Espada, Dante Di Allessandro Icon_minitimeJeu 5 Juin - 14:32

ATTENTION:Afin de ne pas polluer ce topic de messages et commentaires qui briseraient la précieuse unité de ce BackGround, je vous demanderai de ne pas poster ici. Si vous avez des commentaires et ou des réflexions à faire référé vous au sujet approprier. C'est à dire dans la partie HRP appelé Flood.



Dante Di Alessandro Segunda Esapada :
Background: Prologue




Dante Di Allessandro c’est comme ça qu’il s’appelait. Nés tout juste à la fin du 20 ème siècle, dernière limite, un moi de décembre humide et pluvieux, comme tous les mois de décembre dans la capitale espagnol décoré de gui, houx, sapin, guirlande et autres décoration traditionnel qui fleurissaient dans toutes les villes du monde à l’approche de Noël. Les Poppies, vieux groupe formé d’une chorale d’enfant des années 60 ou 70, il n’avait jamais su avec exactitude et au fond il s’en fichait, avait chanté que Noël était la seul chose dans le monde occidental, qui pouvait arrêter le temps d’une fête les guerres et faire retomber la haine. Lui, il n’y avait jamais cru. D’ailleurs il n’avait jamais cru à aucune des niaiseries sucrées et enrobé des Poppies. Comme tous les jeunes de sa génération d’ailleurs, qui ne jurait que par la réaliste vision pessimiste de la société et de la vie, qui n’avait de réelle et de vrai, que la tristesse de l’aveuglement dont faisait preuve ces citoyens trop gâtés et avare de confort qui en voulait toujours plus. Incapable de voir la beauté de la vie ou la véritable déchéance même, qu’il tentait vainement de dénoncé à travers des mots compliqué et qu’il ne comprenait pas eux même dans toute leur mesure comme, capitalisme, fascisme, richesse et pauvreté alors qu’il suffisait d’un seul pour résume le vrai problème de leur belle vie embourgeoisé…Égoïsme et hypocrisie. Oui, l’homme était incapable d’apprécier son existence magnifique, ponctué de petit souci passager le plus souvent et protéger de tout. Ça il l’avait toujours pensé, même si au fond, lui aussi était tombé dans le même travers. La vie était belle et les jeunes écoutait de la musique lourde, bardé d’insulte, dénué de toute subtilité, qui dénonçaient sans preuve la manipulation politique et médiatique, hurlait dans un micro leur haine d’un monde pourri ou tout partait en vrille, tout ça au lieu d’écouter les chants innocent et doux des Poppies qui correspondait si bien à leur petite vie et à leur petit esprit étriqué. Le pire c’est que ceux qui disaient vraiment quelques choses d’intéressant, soit-ils étaient mort, soit-on ne les écoutait pas.

Oui c’est dans ça qu’il était nés, entre deux siècle, en 2000, ni vraiment la fin du 20 ème puisque pour eux, en 2000 on était déjà au 21ème, ni justement le début du 21ème puisque officiellement ça commençait un an plus tard. Enfaite un peu comme cette date, il était nés paumé, d’une mère andalouse qui s’appelait Esméralda, descendant d’une génération de gitan superstitieux, qui tirait les cartes tout les matin à la télé. Entre deux pubs de lessive sur un petite chaîne de TV ou de vielle dame (sa mère elle ne l’était pas) ne faisait que tiré des cartes ou regardé dans une boules de cristal (enfaite en verre). Et d’un père se prénommant Gabriel, qui l’avait rencontré par hasard à Madrid au détour d’un rayon de supermarché et était tombé sous son charme. Oh oui, ils c’étaient aimé et se sont probablement aimé toute leur vie. Et bien sûr que son père n’était pas lanceur de couteau dans un cirque. Il était même bien mieux que ça, PDG de EPI, consortium de société Aéronautique Européenne qui gérait les projets qu’ils avaient la bonne idée de mettre en commun. C’est pour ça qu’il était nés paumé, coincé ente un monde de gitan reconverti en sédentaire et celui d’un gros bonnet de l’aéronautique aussi riche que Crésus lui-même et qui n comprenait strictement rien au séculaire tradition gitane. Que Dante avait toujours trouvé magnifique d’ailleurs, à tout âge fasciné par la puissance de l’aspect occulte de la « civilisation » gitane. Et par le lien apparemment indestructible qu’il entretenait avec la nature et surtout, plus que tout, le feu ! Sa mère n’avait jamais cessé de lui dire qu’il était un être de feu. Aujourd’hui mille an après environ, il comprenait enfin à quel point c’était vrai…Sa mère vraiment ça avait été la plus belle chose qui lui soit jamais arrivé. Avec son père par contre, il ne s’était jamais aimé. Enfin si, mais pas vraiment, disons qu’il s’était respecté mais pas aimé. Pourquoi ? Probablement parce qu’en plus d’être riche et intelligent, c’était un très puissant Quincy. Oui il y en avait même en Europe. Et lui c’était un des derniers, et il l’avait de beau reste. Mais jamais Dante n’avait su aimé les Quincy. Cet rancœur et cet horrible besoin de vengeance l’avait toujours laissé de marbre. Autant leur pouvoir le fascinait, autant le traumatisme dont souffrait le société des Quincy et qu’ils entretenaient avec haine, l’en éloignait totalement et au pas de course. En plus l’idée de passé des heures avec son père à s’entrainer était loin de l’enthousiasmer…

C’est donc dans une situation enviable, qu’il était nés et avait grandi. On peut dire qu’il y avait pire. Et bien bizarrement Dante, aurait préférer naître dans une roulotte crasseuse de Gitan, que dans les draps de soie d’un Hôpital privé (nouveau concept à la mode à cet époque en Espagne ou certain crevaient encore de faim sur les trottoirs). Oui, au mois il aurait eu une vie ou le mot obstacle et difficulté, ou le mot sang, vengeance, honneur ou même fête aurait eu un sens bien différent et bien plus authentique. Et probablement aussi le sens du mot liberté qu’il n’aurait jamais prononcé lui aurait semblé bien plus exact. Enfin tout n’aurait pas été aussi rose qu’on ne l’imagine c’est pour ça qu’il parlait du sens du mot obstacle. Mais au fond il avait toujours été persuadé que tout aurait été mieux ainsi. Aujourd’hui ça n’avait plus d’importance de toute manière.

Entre un mois et deux ans, comme tout les être humain, il ressemblait plutôt à un légume. Incapable de parlé, ou si peu, de marcher correctement, ou si peu et de réfléchir. Sa vie comme pour tous se limitait à manger, chié et dormir. Et dieux que se devait-être bon au fond, avait-il toujours pensé. Donc pas vraiment de quoi s’enthousiasmer ou écrire un bouquin. Par contre après ses deux ans les choses devenait intéressante. Ah ! Ça oui…Pas vraiment non plus super intéressante, quand même. Dante n’avait que deux ans ! Mais déjà à peine plus haut que trois pommes on a des choses à raconté. Parce que Dante, c’est un prodige, à cetteépoque déjà il passait du jeux à la colère, du rire au larme, de l’amitié à la haine à une vitesse anormal. Déjà à deux ans il était lunatique et possédait en outre deux face. C’était le joker, une noir, une blanche, à cette époque ça ne pouvait que ça, pas de nuance ni rien, il était trop jaune. C’était manichéen comme le monde d’un enfant d’ailleurs, soit tes méchant soit tes gentils. Mais en tout cas, c’était déjà un phénomène, sa mère elle, elle trouvait ça amusant, elle y voyait un signe de richesse de caractère. Bien sûr Dante était simplement déjà un être inclassable. Pas génial ou indéfinissable, inclassable, toujours entre deux monde, deux réalité, deux idées et deux envie, bien sûr alors il ne s’en rendait pas compte. C’est la, apparemment que son père à senti le problème, il y avait indéniablement quelques chose qui ne tournait pas rond chez ce gosse. En plus il faisait preuve d’une cruauté insoutenable dans ses jeux qui effrayait toujours sa mère. Même si elle ne voyait en lui qu’un merveilleux et innocent petit ange, loin de se douté, que le goût du jeux dangereux, cruel au frontière de la morale s’encrait déjà avec force en lui, tissant sa toile permanente. Chose qui lui restait encore aujourd’hui présente avec force, même dans sa position actuelle (plus qu’enviable par ailleurs). En tout cas, c’est la que ça c’est formé et ça, ça la suivit toute sa vie. Dante à jamais eu beaucoup d’amis par contre, dès le début il a détesté toute forme d’amitié superficielle, il avait un ami, un vrai, aussi cinglé que lui et qui s’appelait Vincent. Il l’appelait Vince lui, mais il s’appelait Vincent. Et une amie aussi, Ellena, mais ça c’était moins important…ou pas. D’ailleurs c’est probablement la seules fois ou Dante à pleurer, à non il a pleuré aussi quand il est né et quelques fois entre sa naissance et ses six ans. Mais pas beaucoup !

Donc Vince, il l’avait connu à son entrée à l’école, à six ans, parce que lui les maternel il n’avait pas suivi, sa mère n’osait pas le laisser au milieu des autres enfants, elle le jugeait trop instable, trop…ben lunatique justement pour s’entendre avec eux avant d’être capable de réfléchir un peu mieux. Ça n’avait pas trop fonctionné comme stratégie remarquée, Dante dès le premier c’était battu avec un autre gamin, c’est la qu’il avait rencontré Vince, enfaîte c’était l’autre gamin, à qui il avait pratiquement cassé le nés. A six ans c’était un peu précoce. Contre toute attente c’est la qu’il avait noué, une indéfectible amitié. Un truc que personne n’a jamais compris, mais qui était là et bien là ! Les autres, Dante s’en fichait, il leur répondait quand on lui parlait, mais c’était tout, et ceux qui le cherchaient un peu trop, ben il se prenait une raclée. Il était grand, pas costaud, mais grand pour son âge, enfin c’était pas un géant non plus mais il était grand. Et il savait se défendre, avec Vince, il était invincible. Et ça, ça a commencé le premier jour et ça a duré jusqu’à sa mort. Les profs les détestait, tout au long de leur scolarité les profs les ont détestés, parce qu’il ne faisait rien, pire parce qu’il n’hésitait pas foutre un sacré bordel, mais parce que malgré tout, s’était les meilleurs. Plus il grandissait et plus fort il était, en plus de devenir peu à peu complètement cinglé. Parfois il se disputait et alors s’était violent, mais en générale il se pardonnait tout, s’était plus amusant qu’autre chose après coup. Mais enfaîte, c’est comme ça qu’il était mort. Ellena elle il l’avait connue au premier jour aussi, elle avait des cheveux bruns sombres avec des reflet étrange qu’il n’avait jamais su identifier, vraiment étrange, elle disait que c’était magique et Dante la croyait. Et elle avait des yeux…magnifique, de ces yeux de jade qui vous accroche et vous emprisonne, de ces yeux dans lesquels à n’importe quel âge vous voudriez vous noyez dedans. Ces yeux la, il ne les oublierai jamais. Et en plus elle avait les même cheveux que sa mère. Ellena c’était la seul personne qui avait réussi à l’adoucir, avec sa mère mais ça c’est une autre histoire, parce que c’est normal pour une mère d’avoir un certain pouvoir sur son fils quand on l’aime non ?Sauf si on est une mère dépourvue de charisme, avec une petite voie criarde et un sale caractère. Mais sa mère à Dante n’était pas comme ça et Ellena non plus.

Vince et Ellena s’était pas toujours commode, parce qu’il ne s’aimait pas trop trop, mais pour lui ils faisaient un effort. Et Dante aimaient bien se dire que sans lui, ce serrait impossible que ces deux là se voient sans se taper dessus. Parce qu’Ellena elle avait beau être gentille et douce, elle savait se défendre et Vince ne la supportait pas, parce qu’elle lui tenait tête alors qu’elle était moins forte que lui. Et pire qu’elle arrivait à me dresser contre lui. D’ailleurs au fond tous savaient ce qu’il en était, Dante et Ellena c’était juste Roméo et Juliette en plus violent avec un Roméo à moitié schizophrène et pas vraiment mélancolique et une Juliette capable de distribuer une paire de baffe à tout le monde, ou de tenir tête et de remballer n’importe qui. Pas vraiment une pleurnicheuse, ni lui un pleurnicheur. Enfaîte c’était plutôt Arwen et Aragorn, sauf que Dante était pas aussi gentil que Aragorn et que Ellena était un peu plus impulsive que Arwen. Leur quotidien c’était, blagues, rire, dispute, coup fourré, bagarre mais surtout rêve et passion. Ellena elle faisait du flamenco et lui de la guitare et du piano, Vince il chantait avec une voix sourde et grave comme un dieu, enfant puis adolescent sans que le passage à « l’âge de la puberté » n’affecte sa voix. Et tous les trois ensemble écrivait des trucs magnifiques, enfin pour leur âge. Et pas des textes gnangnan comme les Poppies (parce que qu’est ce que c’est rose bonbon et fleur partout aussi). Non des trucs un peu plus spirituel et profond. Rien ne pouvait les arrêter enfaîte, il était invincible, et plus il grandissait, plus on les aimait. Enfin rien sauf eux-même bien sûr. Vince c’était le volcan qui couvait perpétuellement. Et un jour Ellena et Dante se doutait bien que sa exploserait.

Et ça à explosé bien sûr, ils avaient dix huit ans, il était près à rentrer droit dans la vie et tout écraser sur leur passage. Ça oui, ils auraient tout plier à la simple force de leur volonté. Mais bon, évidemment comme pour beaucoup cette même volonté, mais aussi faut bien le dire le petit grain qu’ils avaient dans la tête leur à jouer un tour. C’est ce soir la, à dix huit ans seulement, que Ellena et Dante se sont éteint. Vince sans eux, il était voué à l’échec et complètement condamner. D’abord parce qu’il avait besoin d’eux dans le moindre de ses rêves ou en tout cas de Dante et puis parce qu’ils étaient les seuls à pouvoir le calmer et le maintenir à la frontière de la folie. Sans eux, il l’était jusqu’au bout des ongles. Quoi que ce jour la même avec eux il l’a été comme quoi…Mais bon pas de panique, ils vont mourir mais l’histoire de Dante enfaîte, c’est la qu’elle commence vraiment et…Quel histoire !Dante le dira bien plus tard lui-même : « C’est la que je naît ! »
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MessageSujet: Re: Background du Segunda Espada, Dante Di Allessandro   Background du Segunda Espada, Dante Di Allessandro Icon_minitimeLun 14 Juil - 12:35

Suite:Prologue partie 2



Le problème c’est qu’il pouvait pas lui en vouloir à Vince, il était comme ça et cette fois la, il était allez trop loin. Certain diront beaucoup trop loin mais Dante lui disait qu’il avait simplement franchit la limite, mais comme c’était pas des êtres normaux, ben eu quand il franchissait la limite, même furtivement, ça créait des catastrophes…C’est bizarre mais tellement vrai. La preuve ce soir d’été la ou Dante et Ellena était seul à se promener tranquillement dans le Parc Juan Carlos II. Ils avaient dix huit ans, c’était encore des gosses au fond, mais plus tout à fais, comme ils disaient des gosses dangereux, parce qu’ils savent ou ils vont et ce qu’ils font. Et ils s’aimaient, ça ils l’avaient compris depuis peu, parce qu’on met toujours une plombe à comprendre apprécier et reconnaître ce qu’on en fasse des yeux, surtout quand c’est que du bon ! Encore plus quand c’est que du bon, je l’ai déjà dis, mais les hommes ne voient que ce qui est pourri…Sauf eux bien sûr et leur cœur lacérer, mais ils voient jamais ce qu’il y a de bon. La je me répète mais c’est normal, il faut le dire encore et encore. Et Dante et Ellena n’échappent pas à la règle. Ils ont quand même mis dix ans à se rendre compte qu’il s’aimait ces deux idiots !
Enfin le résultat est la, me direz-vous et c’est ça qui compte. La ils déambulent, amants étourdis et étourdissant sous le ciel sans étoile de Madrid (ouai parce qu’il y a pas d’étoile à Madrid) dans un parc éclairé de partout au pied d’une bute vertigineuse ou ils ont passé leur enfance, gravissant sa pente ardue avec leur petite jambe de bambin puis dévalant en sens inverse la colline se roulant dans l’herbe. Mais le la seul qui dévalent, c’est leur cœur, qui bondit de joie dans leur poitrine, leur peau qui frissonne à chaque contact et leur main qui se serre. Joli tableau hein ! Enfin c’est Dante et Ellena faut pas vous faire d’illusion, parce que c’est à peu près tout ce qu’il y a de romantique (hormis les magnifiques yeux d’Ellena qui ne cesse de distraire et d’accrocher Dante pendant qu’il disserte. Enfaîte la, il parle de la prochaine étape que serra leur vie, non pas le mariage la vous n’y êtes pas, de toute façon pour Dante c’est des conneries, même s’il voit bien Ellena dans une robe blanche et elle franchement, ça n’a pas d’importance. Non la prochaine étape, c’est leur vie professionnelle. Enfin ce qu’ils entendent par vie professionnelle. Le truc c’est que maintenant ils commençaient à se faire des projets pour eux deux, forcément et c’est normal me direz-vous. Ouai sauf que Vince qui avaient flairé l’affaire était pas tout à fais d’accord. D’habitude c’était Dante et lui les projets…Et Ellena venait toujours fourrer son énorme nez dedans, même si jusque la ça ne le dérangeait pas trop. Par contre qu’elle commence à lui mettre plein d’autre projet que les leur dans la tête la Vince commençaient à pas trop apprécier.

Bien sûr, Ellena le savait mais comme toujours elle s’en fichait éperdument. Ben oui elle est comme ça la petite Ellena, pourtant ça n’avait rien de méchant, juste des voyages, une idée de chanson sur eux (parce que leur vie pro c’était ça, leur groupe, leur musique et éventuellement la carrière de journaliste de Dante). Rien de bien grave donc, mais pour Vince c’était suffisant, d’autant qu’il les suivait depuis un bon moment dans l’ombre sa veste noire, boutonnée jusqu’au col et sa capuche rabattue sur son visage (c’était ridicule il n’y avait rien de plus voyant enfaîte…En plus qui porte des vestes à Madrid ? En pleine moi de juin !), sans se faire voir d’eux. Il avait toujours été doué pour ça Vince, Dante avait toujours trouvé ça fascinant mais la pour le coup s’il l’avait vu, il lui aurait probablement cassé sa grande gueule. Le problème c’est que dans sa veste, Vince trimbalait un magnifique couteau, type couteau de chasse le truc énorme qui ressemble en légèrement plus petit à ces monstres dont sont équipés les Marines Américain…ou les soldats tout court d’ailleurs. Et il avait des envies de meurtres, mais Vince c’est pas un garçon normal on la déjà dit, quand on dit de quelqu’un qu’il a des envies de meurtres, en générale ça veut juste dire qu’il est en colère, mais là non, ça veut vraiment dire qu’il a des envies de meurtres, qu’il veut tuer. Qu’il veut voir du sang coulé et même si c’est le sang de son meilleur ami ! C’était déjà arriver remarquer, qu’il se mette dans ces états le, mais pas contre Dante et en générale ce dernier arrivait toujours à le raisonner.
Mais cette fois, il n’aurait pas le temps, ce serait une seconde trop tard qu’il allait se retourner et le coup le tuerait dans les minutes qui suivrait. Ou presque…Et Ellena ? Qu’est ce que vous voulez qu’elle fasse contre une bête de muscles d’un mètre quatre vingt cinq et presque autant de kilos ! Elle qui était si fragile physiquement par rapport à lui. Elle s’est son aplomb qui la sauvait, mais contre Vince en colère ça ne servait à rien. Et la pour le coup, il était sacrément en colère. Alors il avançait derrière, dans l’ombre vomissant sa haine tout bas, murmurant d’écœurante parole et menace de mort à l’égard de celui qui était pour lui il y a une dizaine d’heures encore, avant qu’il n’intercepte par erreur une conversation d’Ellena et Dante juste à l’angle d’une rue ou ils se promenaient, comme lui mais lui c’était caché en les entendant arrivé…curieux, curieux de savoir ce qu’il pouvait bien se raconter. Et sa curiosité avait fais basculer son esprit dans la folie la plus complète, dès qu’il avait compris qu’il ne faisait pas partie de ce petit univers enrobé de sucre et qu’il ne partageait pas cet honneur, il était devenu fou, furieux aussi mais fou surtout. Et la, il les maudissait les détestait et enserrai dans sa poche le couteau de chasse de son père (défunt) près à l’abattre sur les deux amoureux qu’il ne pouvait plus imaginer que mort. Et Vince quand il avait décidé que quelques chose évoluerait de tel ou telle façon dans son monde. Et ben c’est comme ça que sa se passait ou pas…Mais pour le coup c’est comme ça que ça allait se passer.

D’un seul coup, les pas de Vince s’accélérèrent, pourtant il ne faisait presque pas de bruit, parce que vous voyiez Vince avait cette capacité incroyable de savoir courir sans faire le bruit d’un troupeau de bœuf effrayé. Sa foulée s’allonge sa respiration calme s’accélère, encore et encore, son cœur bas à tout rompre et bientôt c’est une véritable fusée qui fonce droit sur Dante. Lancé à toute vitesse, quatre vingt cinq kilos de muscles armés d’un couteau qui vient de sortir de sa poche, fermement empoigné, une lueur de démence qui prend déjà le pas sur la folie (la démence c’est l’étape suivante de la folie c’est pire encore) et qui induit une implacable détermination. Quand Dante se retourne, sourire aux lèvres et enlève son bras des épaules d’Ellena, il a à peine le temps d’écarquiller les yeux, à peine le temps d’entrouvrir la bouche pour crier ou même le temps d’être surpris. À peine, parce que Vince à déjà armer son coup et son bras se détend droit vers le cœur de Dante, qui n’a pas le temps, vraiment pas et la lame s’enfonce profondément, perfore ce merveilleux muscles vital, symbole de l’homme plus que de quiconque, à qui nous naïf avant tout prêter tout donner et prétendu qu’il était mont et merveille…Eriger sur les sommets de l’humanité, pourtant c’est juste un muscles, un putain de muscles et fragile avec ça ! Et il s’effondre, le plus étrange c’est qu’il sourit et là Vince ne comprend plus.

Pourquoi il sourit lui ! Je viens de le poignarder ! Je viens de te tuer enflure ! Pourquoi tu souris ! Mais pourquoi tu souris merde, arrête de sourire je t’ordonne d’arrêter de sourire ! Tout de suite !

Ellena le regarde, elle le défie, elle sait, maintenant de toute façon elle veut mourir aussi, mais avant de mourir elle va lui laisser, profondément ancré dans sa mémoire, ce regard, ce regard de mépris total que ses yeux de jade lui jetaient froidement et qui faisait de lui, moins que rien, moins qu’un homme moins qu’une bête, juste rien, un pauvre verre tout juste bon à traîner son mal être dans la fange. Elle ne vivait déjà plus que par ce regard au moment Vince l’aperçu fier, belle et totalement intouchable. Même s’il la tuait il garderait la vision de ses yeux humide d’une froideur sibérienne qui le regardaient, sans colère ni amertume, juste avec ce mépris profond, insupportable qui le rayait de la face du monde et lui enlevait toute humanité. Il ne le supportait déjà plus :

Comment elle osait faire ça ! C’était de sa faute, tout était de sa faute, elle pouvait pas le juger, c’est lui qui jugeait, lui qui donnait mort ou droit de vie ! Elle pouvait le regarder comme ça !

Déjà ces yeux terribles le brûlaient, déjà ce regard le consumait, l’enfonçait dans la démence et l’écrasait avec une force surhumaine, sous le joug de la morale et la puissante vision d’autrui. Le jugement par les yeux d’un autre, au fond c’est ce qu’il avait toujours détesté Vince. Et en fin de compte en agissant ainsi, en prouvant que tous les coups que pourrais lui donner Vince ne l’atteindrait même pas, parce qu’elle était déjà partie et que tout ce qu’il obtiendrai c’était ce mépris, elle avait gagné et elle l’avait détruit. Complètement écraser, elle n’attendait plus que le couteau pour quitter cette pauvre et ridicule forme mortelle et rejoindre Dante. D’ailleurs puisque Vince ne savait plus quoi ou quand pourquoi, c’est elle qui c’était avancé avait pris la main de Vince fermement (ben oui celle qui tenait le couteau oui) et avait irrésistiblement plongé la lame dans son cœur, la douleur n’avait plus de place, Dante il avait pas eu mal non plus parce qu’il avait pas eu le temps, elle parce qu’elle était déjà morte pratiquement. Puis comme Dante et près de Dante elle s’était effondrée. Baignant bientôt dans son propre sang, figé dans la mort son éternel amour souriait encore, lui aussi il savait, que pour Vince il aurait mieux valu se tuer maintenant, comme il savait que ce serrait Vince qui le tuerait un jour. Et puis sa vengeance viendrait de loin, d’après la mort, il viendrait lui donner la mort, non pas le mort, il le détruirait, avec ce même mépris q’il avait observé dans le regard d’Ellena. Puis il ne resterait que lui et elle. Et sur toute la ligne ce pauvre ère qui avait cru pouvoir les détruire et recouvrer sans eux le bonneur aurait échoué sur toute la ligne, parce que ce qu’il n’avait pas compris c’est que c’était à trois, à trois ou rien….
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